lundi 10 février 2014

Kristen Stewart : Interview complète pour le Magazine Marie Claire US.



Maintenant qu'elle a prouvé qu'elle peut prendre la tête d'une franchise de plusieurs milliards de dollars, Kristen Stewart – actrice, poète, road-tripeuse avec de l'expérience et la plus rebelle la plus cool de la Vallée – est plus que prête à prendre des sérieux risques – Karl Taro Greenfeld

* Kristen Stewart m'a baptisé. Un superbe saupoudrage de carottes râpées sur ma chemise et le revers de ma veste, des tâches oranges disséminées sur mon torse. Elle fixe du regard le presse-agrumes acheté dans un supermarché Gelson, bouche bée, rappelant familièrement à quiconque ayant déjà vu Bella Swan sidérée par Edward Cullen l'informant, par exemple, qu'il a en fait 108 ans. 'Oh mon dieu, je suis tellement désolée, mec'.

De retour dans le salon, où un dessin animé de Bugs Bunny tourne en sourdine, elle allume une cigarette Camel, ouvre les baies vitrées derrières lesquelles ses chiens, Cole, Bernie et Bear, sont en train de pleurnicher et de gratter, puis revient, exhale et s'assoie, faisant bouger son pied dans une tentative vaine de brûler l'excès d'énergie. Elle a boosté une franchise de films de plusieurs milliards de dollars et va propulser tous ceux qu'elle choisira. C'est comme voir défiler son énergie maniaque, cinétique, romantique, un désir intense et une volonté de faire plus, d'agir plus et d'écrire plus. C'est ainsi qu'elle vit, explorant qui elle est à un moment donné en se mettant en danger. Les choix qu'elle fait, les projets dans lesquels elle s'engage, sont basés sur ce qui lui fait peur. 'Mec, je n'ai aucune idée de ce que je fais, et c'est en quelque sorte comme ça que j'aime que ça se déroule', dit Stewart. 'Je n'avais aucune idée que Twilight allait être énorme. Certains films que j'ai fait et que je trouvais formidables n'ont rient fait. Donc il ne s'agit pas d'avoir autant de contrôle. C'est une sorte de vie à l'aveuglette – c'est amusant mais c'est foutrement effrayant. Si cela n'est pas effrayant, c'est généralement – on doit en quelque sorte prendre du recul et se dire, 'On prend probablement cette décision car ça a l'air bien sur le papier'. Mais à moins d'avoir cette peur irritante, ce n'est pas juste'.

Elle est perchée sur un canapé drapé d'une couverture navajo devant une table munie d'un coffre en cèdre dans son salon carrelé avec une vue éblouissante sur Los Angeles. Le ciel est couvert de nuages sombres pesant sur l'infini urbain, de telle manière que si l'on avait à choisir le film se rapprochant le plus , ce serait Forks de Twilight, Washington. Elle est habillée plutôt comme un personnage faisant du skate issu d'un clip vidéo d'Avril Lavigne que l'une des actrices les mieux payées au monde (on rapporte qu'elle aurait gagné 22 millions dans l'année, pointage se terminant fin juin 2013) – des Vans bleues, un pull à capuche, un tee shirt blanc, un pantalon militaire, un collier composé de plaques militaires, des lunettes à monture d'écailles, une casquette de baseball décorée du logo 'Mercenaries'. Après avoir déménagé de la maison de Los Feliz qu'elle partageait avec Robert Pattinson en 2012, elle a visité quatre maisons avant de se décider sur celle-là dans une enclave protégée, qui ne semble pas très habité mais pas inhabité non plus. Il y a des meubles en bois (style mission), la télévision toujours pas raccordée au câble, des caisses débordant de livres – Steinbeck (son auteur préféré, bien que son livre préféré est Sur La Route), McCarthy, Plath et une petite sculpture sur laquelle on lit 'Fuck'. C'est un endroit où crécher pour quelqu'un de 23 ans, avec le style approprié d'être juste fait pour se sentir à l'aise. Ce n'est pas une déclaration de style, elle est juste de passage :'Je n'ai pas vraiment le sentiment que j'ai forcément besoin d'être coincée à un endroit précis'.

Bien qu'elle joue depuis l'âge de 9 ans, c'était son émergence dans le rôle de Bella dans Twilight à 17 ans qui l'a propulsée dans la stratosphère. Aucune autre actrice aussi jeune n'a été la pièce maîtresse d'une franchise de films méga blockbuster. (Angelina Jolie avait 26 ans lorsqu'elle a fait son premier Tomb Raider ; Jennifer Lawrence avait 21 ans dans le premier Hunger Games). La performance de Stewart était si facile et naturelle que, lorsque elle a brillé en 2008 avec le premier [film] dans la saga fantastique romantique de vampires, il semblait qu'elle avait toujours été là. Et dans un sens, elle l'était. Elle habitait si parfaitement chaque caprice, chaque maniérisme d'une jeune fille adolescente – le grognement quand elle dit 'non', le haussement d'épaules résigné et le regard dans son assiette lorsqu'elle veut changer de sujet – et les a réfléchis sur sa source et le public de jeunes femmes. Cinq Twilight et 26 films au total plus tard, elle se retrouve dans la position convoitée de pouvoir choisir ses projets de films – et des maisons de couture. Depuis 2012, elle est l'égérie du parfum Florabotanica de Balenciaga, et plus récemment le nouveau parfum floral épicé de la marque, Rosabotanica. En décembre, elle a également été annoncée comme la nouvelle égérie de la collection pré automne de Chanel, avec le lancement de la campagne annoncé pour mai. 'J'ai fait une séance photos avec Bruce Weber quand j'avais 14 ans pour le magazine Interview. J'ai rencontré Nicolas Ghesquière [alors le directeur artistique de Balenciaga, maintenant chez Louis Vuitton]. J'ai été époustouflée – la mode est devenue moins superficielle à mes yeux, même si ce n'était pas mon truc. Quelques années plus tard, il m'a appelé. Il était resté gravé [dans ma mémoire] en tant qu'artiste. La mode a les meilleures et les pires personnes. Les pierres précieuses sortent du lot. C'était un créateur autour duquel je voulais graviter. Il était tellement créatif. Si je dois arpenter les tapis rouges, si je dois être dans la mode, alors je veux être avec lui'.

Mais ces derniers semblent être des choix sûrs – être au devant des marques de mode est ce que font les starlettes maintenant, tout autant que faire partie de l'industrie en endurant des conférences de presse et en se baladant sur les tapis rouges. Est-ce que Stewart veut créer une autre franchise gigantesque, en refaisant un Blanche Neige et Le Chasseur de 2012, dans lequel elle joue l'héroïne chef de file, dans un autre mastodonte ou se lancer dans l'inconnu, comme elle l'a fait avec les films risqués comme The Runaways (2010), Sur La Route (2012) et Camp X-Ray (dont l'avant première s'est déroulée à Sundance), dans lequel elle interprète un soldat à Guantanamo qui développe une amitié improbable avec un détenu ? Alors qu'une suite de Blanche Neige et Le Chasseur est lointaine, 'ce n'est pas là où je m'épanouis', dit-elle. 'J'aime vraiment être projetée dans l'inconnu et ensuite trouver mon chemin. Je ne veux pas vraiment montrer quelque chose à quelqu'un. Je veux que les gens me voient trouver quelque chose'.


* Le réalisateur de Camp X-Ray a été impressionné que Stewart se soit engagée dans le film. 'Il s'agit d'un rôle minimaliste, une performance très interne', dit-il. 'Tout était vivant ou mourant sur son visage – c'était une question de centimètres, pas de mètres. Ce à quoi elle a répondu était de choisir un rôle différent de tout ce qu'elle avait fait auparavant. Elle a fait de trouver un nouveau territoire, elle a besoin se raccrocher à un rebord. Il faut beaucoup de courage pour dire : 'Je me fous de ce que les gens attendent de moi ou ce qu'ils pensent de moi faisant ce rôle'. Il s'agit de la façon dont elle veut se définir, pas la façon dont d'autres personnes veulent la définir. Elle veut se développer, c'est qu'elle fait en ce moment. Elle est incroyablement créative – elle doit absolument réaliser un film, écrire un livre et commencer un groupe'.

Juliette Binoche, la partenaire de Stewart dans le drame Sils Maria (prévu pour une sortie en 2014), l'appelait 'un exploratrice de l'âme. Elle sait qu'elle veut prendre des risques et ne sait pas toujours où ça va la mener. Elle a du génie, et ça la rend timide parfois. Jouer [la comédie] a un rapport avec le feu, et Kristen en a beaucoup en elle. Son besoin de connaître et d'explorer est aussi élevé que sa passion. Elle aime être dans des endroits dangereux et voir si elle peut survivre'.

Elle se plaint de ne pas mettre la main sur autant de projets qui 'lui donnent envie d'y aller', c'est en partie la raison pour laquelle elle n'a pas travaillé la plupart de [l'année] 2013. Au lieu de cela, elle a fait des road trips avec ses amis à la Nouvelle Orléans et Nashville, travaillé sur sa poésie et joué de la guitare, et renoué avec le groupe de filles de la Vallée avec laquelle elle traînait à l'AMC Promenade à Woodland Hills, Californie, au collège.

Elle est très fière de son éducation de la Vallée, représentant toujours le 818, le code postal pour les enfants qui voient l'autre Hollywood de Los Angeles, Beverly Hills et les quartiers de la Côte Ouest de Los Angeles, comme un autre monde. Sa famille soudée qui comprend trois frères et des parents [faisant partie] de l'industrie ([son] père John Stewart est un régisseur ; [sa] mère Jules Mann Stewart est une scénariste) est toujours de 'l'autre Amérique', alors qu'elle considère la Vallée, 'faire du vélo dans les rues et il fait foutrement chaud et l'air craint'. Et c'est ce qui la guide, dit-elle. 'La Côte Ouest et les trucs du genre prennent un peu de haut, genre, culturellement. Je pense que les enfants intelligents de la Vallée sont un peu plus débrouillards, car les gens sont coincés ici, même si je l'aime et que c'est un endroit génial pour élever une famille'.


Source et traduction par Kstew France

La suite de l'interview est à lire à la suite



Sa rupture avec Robert Pattinson en 2012 peut également avoir encouragé son année d'exil partiel. Au cours de ses longs voyages – à un moment,elle a aidé une amie se réinstallant à la Nouvelle Orléans – elle ruminait sur la vie et sa comment peut être, la plus grosse erreur que l'on peut faire est d'essayer de contrôler son propre cœur. 'On ne sait pas de qui on va tomber amoureux. On ne sait tout simplement pas. On ne le contrôle pas. Certaines personnes ont certaines choses, genre 'C'est ce que je vais faire', et j'ai une version subjective de cela. Je ne me mets pas la pression … Si on tombe amoureux de quelqu'un, on veut les posséder – mais vraiment, pourquoi voudrait-on ça ? On veut qu'ils soient ce que l'on aime. Je suis trop jeune pour avoir même une réponse à cette question'. Stewart reconnaît le désir d'avoir des enfants un jour (et croit en l'adoption) et récréer l'enfance heureuse qu'elle a eu. 'J'en ai eu une trop bonne pour ne pas [en donner] une aussi. Si je devais parier là-dessus, carrément, ouais. Mais retenez que, genre, je n'en suis pas encore là'. Elle rit. 'Je veux dire, à ce stade, je ne peux pas dire si je veux sortir samedi'.

Lors d'un road trip il y a un an, Stewart et un ami conduisaient à travers le Texas, où elle a écrit un poème. Elle écrit souvent des petits vers intenses, des mots ou des groupes de mots, les réarrageant dans un processus qu'elle ne comprend pas elle-même mais elle croit que c'est en quelque sorte indispensable à sa santé mentale. Ce poème, écrit après que la saga Twilight ait officiellement pris fin, est typiquement brut et sincère. Avant qu'elle le lise à haute voix pour moi, elle dit, 'Oh mon dieu, c'est tellement embarrassant. Je ne peux pas croire que je fais ça'.

Mon cœur est une balle écorchée / Pôle de liberté


J'ai été élevée par la lune numérique
Tu lis son heure, le néon défile
Tout autour ce noir
Destinée … Déception omniprésente
Jeter à terre pour mitrailler vos pieds …
Je sucerai assez les os.
Votre nature a perforé l'abrasif
Pompes d'organes
Tout ce qu'un homme connaît peint à la bombe, 
Le flux se précipite et tout sort en 
Quelque chose
Alors que le crépitement fixe le soleil glissait
A travers nos fenêtres barricadées
Il frappe ton visage en silex et il brille.
Et j'ai crié et tu t'es garé
Nous sommes arrivés à Marfa.


Un jour honnête sur ce pôle de liberté
Les démons n'ont pas fini de creuser ;
Il parle dans dans langues tout au long de la série


Et cette érosion qui se languit devient poussière
Dans mes yeux
Et je suis ivre de tes parts
Et si je regarde le futur

Chacun de salut tapant sur le tambour
Salue le mien …

* Sa poésie, dit-elle, vient du même endroit que son jeu. 'J'aime être capable d'envoyer quelque chose, genre, 'Le voilà'. Je ne veux pas avoir l'air d'être foutrement prétentieuse … Mais après que j'ai écrit quelque chose, je me dis, 'Putain de merde, c'est fou'. C'est la même chose avec la comédie ; si je fais une bonne scène, je me dis toujours, 'Whaou, c'est vraiment exaltant'.

Quelques-uns de vieux amis du 818 ont abandonné, se rassemblant autour du bloc de découpe de viande de l'îlot au milieu de la cuisine. Stewart a mélangé le jus issu de la centrifugeuse avec du riz brun et du poulet et l'a mis dans le bol. Ils parlent de leur club de lecture – ils viennent juste de finir Less Than Zero de Bret Easton Ellis et sont maintenant sur Sexus d'Henry Miller. Stewart a été une lectrice assidue depuis qu'elle est enfant en lisant des scénarios. (Elle décroché son premier film, The Safety of Objects, réalisé par Rose Troche et basé sur une collection d'histoires courtes d'A.M. Homes, à l'âge de 9 ans). Son seul regret est d'avoir renoncé à une scolarité au collège. 'Le plus grand combat que j'ai jamais eu à mener est celui de ne pas être allée à l'école et d'avoir travaillé à la place. J'ai été inquiète à propos de laisser passer des expériences individuelles spécifiques. Genre à chaque film, c'était 'Putain, je dois faire ce film'. Je viens juste de faire un film avec Tim Blake Nelson [Anesthesia, qui a récemment terminé] et il est brillant. Si je devais être aussi intelligente qu'il l'est, je pourrais avoir la conversation la plus meurtrière avec n'importe qui car je sais que je l'ai en moi. Je n'ai tout simplement pas les outils nécessaires aussi bien développé qu'il ne les a. Je joue ce personnage qui obtient son master en philosophie à l'Université de Columbia, et je pense que je suis intelligente, mais je pense que je ne le suis certainement grâce aux livres'.

C'est seulement l'année dernière qu'elle devenue confiante que, même si elle ne travaille pas pendant une année, elle ne sera pas oubliée ou n'aura pas le sentiment qu'elle a raté quelque chose. 'Il y aura toujours des histoires à raconter, et il y aura toujours ce guide en moi qui les trouvera'. Elle est déjà sur le pont puur Equals, une adaptation cinématographique du roman 1984 de George Orwell, faceà Nicholas Hoult, dont le tournage commencera en juillet. Et le mois suivant, elle commencera le tournage d'American Ultra, une comédie d'action qui la réunira avec son partenaire d'Adventureland (2009) Jesse Eisenberg. 'Elle est activement sans prétention', dit Eisenberg.'Elle est en quelque sorte dans un système qui fait tout ce qu'il a en son pouvoir pour la faire paraître arrogante et trop prudente. Et elle se bat contre ça, ce qui est tout à son honneur. Elle ne pourrait être plus accessible et socialement généreuse et attentionnée et qui s'intéresse aux autres personnes. Il est facile d'avoir une relation avec elle car sa première priorité n'est pas sa propre vanité ou réputation'.

Stewart allume une autre cigarette., et je me souviens d'une chose qu'elle a dit plus tôt : 'J'ai une incapacité embarrassante, sérieusement, de faire appel à une fausse énergie'. Et c'est ce que l'on attend d'elle, explique t-elle, à chaque fois qu'elle rencontre les médias pour promouvoir ses derniers projets. 'Je ne suis pas très bonne à la télévision, et ce n'est pas mon objectif principal dans la vie d'être bonne pour ça. Les gens disent, 'Elle ne peut juste pas gérer – faute de meilleur terme – le feu des projecteurs'. Non, en fait, je ne peux pas, et c'est tout à fait ce que je suis. J'aime être actrice, mais je suis la dernière personne à vouloir avoir une fête d'anniversaire. Je ne chercher pas à forcer ou à transformer en quelque chose d'autre ou fabriquer cette personnalité … Donc je totalement d'accord quand les gens disent que je suis, genre, la personne la plus maladroite'. Stewart a réconcilié ça avec son désir d'être fidèle à son soi poétique. 'Si on opère depuis un lieu authentique, alors on ne peut pas vraiment regretter quoi que ce soit'.

* Choix de mots

A propos d'avoir presque abandonner la comédie à 9 ans :'J'ai passé des auditions pendant un an avant que je ne décroche quelque chose, et j'ai dit à ma mère que je n'en pouvais plus. Je me disais, 'Je ne veux plus te faire me balader dans L.A. Si cela n'arrive pas, cela n'en vaut pas la peine'. Ils pensaient que je ressemblais à un garçon. Je ne pensais pas que cela allait déboucher sur quelque chose, et puis littéralement ce jour-là, j'ai décroché The Safety of Objetcs, qui était mon premier film'.

A propos de ses aspirations de réalisation : 'L'idée de faire un film me fait me fait peur car je veux que ce soit incroyable. Si les gens le regardent, je ne veux pas [qu'ils disent], 'Oh, que c'est gentillet, ses petits débuts en réalisation'. Je veux que ce soit, 'Boom !'.

A propos de son boulot : 'Je suis un peu, genre, extrémiste. Je ne veux pas vraiment travailler moins à moins que je saigne. Et si je ne travaille pas, alors n'essayez jamais de planifier quelque chose avec moi'.

A propos d'être jugée comme un péril de la gloire : 'J'assume chaque erreur que j'ai commise auparavant, donc jugez de loin'.

A propos du fait d'être moins inhibée : 'Je disais toujours genre, 'Si on bâtit trop de murs, on ne peut pas voir. On limite sa vie si radicalement et d'une façon triste'. Donc, j'ai toujours l'habitude de dire, 'Je ne bâtis aucun mur, j'essaie de les briser', et cela semblait en quelque sorte défensif – cela venait certainement de cet endroit. Mais maintenant, je maintiens en fait que je ne vis pas dans une forteresse'.

A propos des drogues : 'Je suis une telle maniaque du contrôle. Je suis contente d'avoir grandi à cette époque car je pense que si j'avais grandi à l'époque des drogues de mes parents et de la découverte et de la merde, je ne pense pas que je me serais bien débrouillée avec les drogues'.

* Derrière la couverture : Mode

- Âge : 23

- Lieu de résidence : Los Angeles

- Garçon manqué chic : L'actrice est arrivée dans un jean foncé 7 For All Mankind, un pull à capuche avec fermeture éclair E.C Star, des baskets Vans noires.

- Fille du rock : Sa playlist incluse des airs de la star du rock indépendant Feist et des sœurs Haim.

- Partenaire de scène : Elle a été rejointe par son chiot Cole, prénommée d'après son personnage de Camp X-Ray. Le chien noir recueilli s'est senti comme à la maison sur le plateau de la séance photo, posant même avec l'actrice.

- Vert doux : Après que Stewart ait remarqué un lapin sur la propriété, l'amoureuse des animaux l'a nourri avec de la mangue sèche et des restes de salade du buffet.


* Derrière la couverture : Beauté

- Cheveux : Le coiffeur Adir Abergel a donné aux cheveux de Stewart un corps subtil en appliquant un produit donnant du volume aux racines avant le brushing, a ensuite ajouté une huile légère aux extrémités pour un effet plus déstructuré. Avec la juxtaposition de texture et une coupe droite qu'il a donné à Stewart ce matin. Abergel a pu conserver le look moderne et frais.

- Maquillage : Pour un regard au naturel de Stewart, la maquilleuse Jillian Dempsey a commencé en tamponnant un anti cernes pour harmoniser sa peau et s'est concentrée en créant un sourcil épais en faisant des mouvements ascendants avec un crayon chocolat. 'A cause de la symétrie du visage de Kristen, elle peut accepter plus d'intensité autour de ses yeux', dit Dempsey.

- Manucure : La spécialiste ongulaire Kimmie Kyees a conservé des ongles propres en les polissant et en appliquant une teinte rose pâle.Maintenant qu'elle a prouvé qu'elle peut prendre la tête d'une franchise de plusieurs milliards de dollars, Kristen Stewart – actrice, poète, road-tripeuse avec de l'expérience et la plus rebelle la plus cool de la Vallée – est plus que prête à prendre des sérieux risques – Karl Taro Greenfeld

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...